Résumé:
JavaScript présente de nombreuses incohérences, un écosystème npm encombré, divers moyens d’importer des modules et une API navigateur confuse, rendant son utilisation bien moins agréable que certaines alternatives, comme WebAssembly.
Résumé:
JavaScript présente de nombreuses incohérences, un écosystème npm encombré, divers moyens d’importer des modules et une API navigateur confuse, rendant son utilisation bien moins agréable que certaines alternatives, comme WebAssembly.
Durant mes années à travailler avec JavaScript, j’ai souvent rencontré la complexité inhérente à son écosystème. L’abondance des bibliothèques et frameworks, ainsi que le manque d’uniformité dans la manière d’importer des modules, a mené à des implémentations parfois déroutantes. Mon expérience m’a appris à utiliser ces outils avec prudence et à me préparer à un apprentissage continu pour rester à jour. Malgré tout, l’interopérabilité avec les technologies web et la rapidité de développement restent des atouts indéniables, même si cela demande de faire preuve de vigilance sur certains choix technologiques.
Je confirme que l’expérience avec JavaScript reste mitigée malgré son omniprésence dans le développement web. Ayant travaillé sur plusieurs projets en production, j’ai constaté que l’incohérence entre différentes syntaxes d’importation et la dualité du fonctionnement des modules peuvent compliquer l’intégration et la maintenance du code. Avec le temps, l’adoption de pratiques modernes et l’utilisation judicieuse de frameworks ont permis de limiter ces problèmes, mais ils existent toujours sous une forme ou une autre. Cela souligne l’importance d’une veille technologique constante pour exploiter pleinement ses atouts tout en contournant ses limites.